En ces années vingt, seuls les services secrets soviétiques savent peut-être vraiment qui est le "Jaguar". Ou du moins qui il sert. Jeune, candide et caressant malgré la mort qui rôde, le jaguar se meut dans les filets du terrorisme international avec la grâce d'un félin. Il promène du Brésil en Russie, de Chine aux Etats-Unis, un livre qui lui ressemble et dont il ne, se sépare jamais : "Les aventures de Simplicius Simplicissimus" du baron de Grimmelshausen.